La première est revenue sur les difficultés rencontrées tout au long de sa scolarité : manque de soutien des enseignants, supports pas toujours adaptés, etc. Face à l’adversité, elle a su rester forte grâce au soutien de sa famille, mais aussi en pratiquant une activité, hors du cadre scolaire, qui lui a permis de s’épanouir. Elle est aujourd’hui en 2ème année de BTS SAM et a exhorté les dys à ne pas baisser les bras. D’ailleurs, Victoire a récemment écrit à Brigitte Macron pour la sensibiliser au sujet des dys et la première dame a demandé à des membres du Gouvernement de se pencher sur la question. Florence Wilk Narbey a ensuite détaillé ses activités et la façon dont elle détecte et aide les dys au quotidien.
En conclusion, Eric Plat, DG d’Atol, a souligné que ce sujet lui tenait à cœur et que le groupe coopératif était pleinement engagé, avec la start-up Abeye, dans le développement d’aides aux dyslexiques. Il a rappelé que Lexilens était fabriquée en France (seuls les verres, non disponibles dans l’Hexagone, viennent de Corée), fidèlement à la stratégie de réindustrialisation de l’enseigne. Différents ateliers étaient ensuite proposés aux participants : fresque participative, cocréation d’une histoire, corner test Lexilens… La dernière innovation d’Abeye était aussi présentée. Cet écran, destiné aux dyslexiques, facilite la lecture, sans ajout de lunettes.