Près de 2 millions de personnes souffrent actuellement de malvoyance en France, ce chiffre pourrait doubler d’ici 2050. faire face à ce fléau qui impacte au quotidien, Optic 2000 lance, du 4 au 11 octobre, la semaine de la malvoyance.
Pendant cette semaine les opticiens de l’enseigne invitent le public à prendre RDV, sur le site Optic 2000 ou en magasin, pour bénéficier d’un bilan basse vision gratuit et d’un accompagnement sur mesure si nécessaire.
Cet évènement est aussi une opportunité, pour le grand public, de découvrir, en magasin, les dernières innovations en matière d’aides visuelles. Eschenbach, spécialiste des aides visuelles, est associé à cette semaine, à l’occasion de la sortie mondiale d’un nouveau
produit.
Au quotidien, ce sont 230 opticiens experts et labellisés en basse vision, sur tout le territoire, qui apportent une expertise et un
suivi adapté ainsi que de nombreuses solutions pour améliorer le quotidien des personnes atteintes d’une déficience visuelle.
Avec le vieillissement de la population, il est important que notre approche du rôle de l’opticien évolue.
Nos clients ont de nouveaux besoins visuels, nous devons y répondre au mieux. C’est pourquoi j’ai décidé de me spécialiser dans la basse vision. Optic 2000 propose une formation, en continue, qui permet d’apprendre comment accompagner les personnes malvoyantes, techniquement et psychologiquement, pour les aider à récupérer une certaine autonomie au quotidien grâce à des aides visuelles adaptées. C’est aussi pour moi l’opportunité de m’affirmer dans un domaine plus technique, notamment auprès des prescripteurs.Franck Marullaz, opticien Optic 2000 « Expert Basse Vision » à Chilly-Mazarin (91).
En 2009, Optic 2000 a créé l’agrément « Point Expert Basse Vision » pour permettre aux opticiens d’accueillir dans un centre adapté, les personnes déficientes visuelles. Pour obtenir l’agrément il faut répondre à un cahier des charges strict : la formation basse vision d’au moins un opticien par magasin, l’agencement spécifique du magasin comprenant notamment une salle isolée pour la basse vision et la mise à disposition d’une gamme de produits adéquates. L’agrément est validé, ou non, lors d’un audit réalisé par un membre du comité d’experts.