Hoya souligne que cette inaction est problématique puisqu'elle débouche sur des renoncements à cette solution, alors même que chaque aumgentation d'une dioptrie augmente de 67% le risque de pathologies oculaires sévères, pouvant aller, à terme, jusqu’à la cécité. Une meilleure prise en charge de la freination de myopie permettrait, à l'avenir, de limiter les dépenses liées aux pathologies induites par les myopies fortes.
Pour clarifier la situation et alerter les Pouvoirs publics, les lecteurs du Figaro, du Monde et de Libération, pourront, demain, découvrir la Lettre aux citoyens d'Hoya.